Écolière tranquille, je remplissais les espaces libres de mes cahiers avec des pensées comiques ou profondes pendant que mes enseignantes se démenaient, plus souvent qu'autrement, craie en main au tableau. Pendant les périodes interminables (ZzZzzzzzzz) de travail individuel, j'écrivais des lettres à mes amies que je m'empressais de leur remettre à la récréation. Comme j'aimais l'école et que, par bonheur!, j'y suis restée longtemps, j'ai pu peaufiner mon art jusqu'à l'université.
Au fil du temps, j'ai délaissé les bons vieux cahiers Canada au profit de l'écran. Ce blogue me sert désormais de cahier pour partager avec vous mes notes marginales irrévérencieuses ou sérieuses en toute licititude!
Épistolièrement vôtre,
Véronique
* Vous remarquerez que mon patronyme est affublé d'un « s » en position finale, pour une raison que même mes ancêtres semblaient ignorer...
